LES AIGUILLES DU DESTIN INVERSé

Dans l’atelier feutré d’un tailleur parisien, les aiguilles glissaient avec une minutie méticuleuse sur les étoffes de soie et de laine. Chaque haute couture était un serment silencieux, chaque cours tissé une fiançailles réalisée à ce qui porterait le vêtement. Pourtant, durant quelque périodes, des éléments troublait l’artisan.

Les atouts de cette démarche parurent plus évidents lorsque Basile dut répondre à un débat relationnel qui le rongeait durant des mois. Il s’agissait d’un proche de sa appartement avec qui le dialogue s’était rompue. Il hésitait à renouer le contact, redoutant l’incompréhension ou les reproches. Finalement, sophistication aux élan